République de Frôce
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Voir aussi : Armando Monsallio (homonyme frôceux)

Histoire Antéludique[]

Armando Monsallio et Josephina Del Pilar

Armando Monsallio et Josephina Del Pilar (son ex-femme)

Issu d'une famille aux valeurs fortement ancrées dans la tradition, il connait dès son plus jeune âge la rigueur d'une éducation militaire, fortement marquée par son père (le Maréchal Pedro Monsallio, qui dirigea les armées argsentynes entre 1986 et 2003, année de son décès). Suivant une scolarité brillante au Lycée Militaire de Milio, - ville dans laquelle il passe la plus grande partie de son enfance, sa famille ayant fuit la terreur imposée par les Généraux dans la région du Nord du pays - il revient à Abbentada en 1967, alors que la Guerre civile fait encore rage, afin d'entreprendre des études de Droit et de Lettres classiques. Au niveau personnel, il épouse Señora Josefina Del Pilar, une nièce du Général de la Massa, en Décembre 1975 - ils divorceront en 1996 -.


Tout d'abord neutre vis à vis de la dictature militaire que connait la Capitale où il exerce désormais en tant que Professeur à la Faculté de Lettres; il finit par s'y opposer, et organise avec l'aide de certains amis universitaires - dont José San Martin -, un réseau clandestin à l'intérieur même de la cité, afin de fragiliser le pouvoir en place. Grâce à ce remarquable travail de sape mené avec discrétion, lorsque le Général de la Massa - héros de la nation arsgentyne qui ramena l'unité en son pays -, mène le raid ultime pour faire définitivement basculer le Régime dictatorial des Généraux, ceux-ci ne sont plus guère que l'ombre d'eux-mêmes. Et la paix revient sur un pays dévasté par les bombes et la famine. Armando Monsallio, touché par cette misère, s'engage alors dans la politique, suivant les pas de son père, devenu pendant la Separacion un proche conseiller politique du Général de la Massa.

Histoire Ludique Arsgentyne[]

Jose s martin

José San Martin, fidèle ami d'Armando Monsallio

Sur l'échiquier politique, Armando Monsallio est à placer à l'aile gauche du parti conservateur arsgentyn, le VRAI (Valeurs Républicaines pour une Arsgentyne Indissociable). Fin 2002, alors que son père quitte la vie politique, accusé d'avoir favorisé le départ d'Eva Repòn - première présidente démocratiquement élue d'Arsgentyne - il prend les commandes du VRAI, et se présente dans des élections présidentielles anticipées face à des progressistes modérés qui font une alliance de circonstance avec des révolutionnaires. Dès lors un évènement tragique se produit, puisque, dans le courant du mois de Mai 2003, le parlementaire Alfonsin (progressiste modéré) disparait. Manipulation, ou contre-manipulation, le Parti monsallien crie à la calomnie et sa jeune recrue, José San Martin, semble déjà s’engager dans un processus qui vise à déstabiliser le parti révolutionnaire, décidément malvenu. Une véritable guerre civile éclate. Les troupes de la République sont mobilisées par le Président Monsallio, qui s’est vu confié les pleins pouvoirs par la Médiana au cours d’un scrutin controversé. L’armée est conduite sur les villes d’Abbentada et de Phutuopa. Seule Milio, devenue le refuge des troupes rebelles révolutionnaires, s’enferme dans une politique de refus du pouvoir en place. Ce n’est que grâce à une stratégie de siège que l’Armée régulière arsgentyne parvient à reprendre pacifiquement la ville. Tous les rebelles quittent alors l’Arsgentyne.


De Juin 2003 à Août 2003, Armando Monsallio organise de grands débats à la tête de la République. Une décision va être prise. Le Président Lejazzeux, de la République d’Orion, un Etat militariste qui s’est reconnu dans la culture arsgentyne, a lancé des négociations, qui aboutissent le 27 Août 2003 à la signature d’un pacte d’unification. Peu après, le Professeur Pitard-Aaron, fondateur de la Nation, quitte le pays. La Grande Arsgentyne nait. A sa tête, le Président Monsallio devient Président-Dictateur à vie et à moustaches. Et, conséquence de cette union, la Grande Arsgentyne entre dans la Fédération d’Aldden, Organisation internationale du Sud du micromonde qui est, à cette époque, l’une des principales forces micromondiales. L’activité grande arsgentyne est cependant assez faible, tous les efforts étant tournés vers la Fédération, qui devient de plus en plus brillante. Mais la Gigantesque Construction montre rapidement des faiblesses qui se soldent par un désavoeu. Le Président Monsallio, seul et unique Président fédéral élu par le Peuple aldénien en décembre 2003, se voit obligé de démissioner de son poste, alors qu’une grande partie des dirigeants aldéniens espère sauver la Fédération. Mais la chute est inévitable, lorsque des agents des services secrets aldéniens (SADE) sont confondus dans l’affaire du Coup d’Etat du Krassland. La fin d’Aldden est amorcée. La Fédération se désagrège, et la Grande Arsgentyne finit par la quitter, au même titre que Prya, puis finalement Ydemos, restée seule. C’est l’indépendance retrouvée.


Ars F 150

Drapeau de la Seconde République d'Arsgentyne

La Grande Arsgentyne connait alors une longue période de marasme politico-économique, qui verra le départ du Primo del Gobierno José san Martin, puis le départ du Président à vie Monsallio, la venue du Primo Cabronne, le retour de José San Martin, et finalement le retour d’Armando Monsallio à la tête de l’Etat, vers la fin du mois de Mars. Le nombre des changements ne modifie pourtant pas la morosité qui s’est éprise de la République, et finalement, les responsables politiques, de moins en moins nombreux, décident de dissoudre la Grande Arsgentyne. Seule subsiste alors la Cité Libre et Autoritaire de Brasylya. Nous sommes en Avril 2004. Mais ce projet fou d’une Cité Etat unique apparait comme peu viable, et il est finalement révélé au micromonde que son exécution n’a jamais été menée. L’Arsgentyne est alors replongée dans l’Anarchie, jusqu’à la venue providentielle de José San Martin, et le retour inattendu du Professeur Fénélys Pitard-Aaron, au mois de Juin 2004. Forts de leur expérience, ils sont rejoints dans le gouvernement provisoire par l’ancienne présidente Eva Repòn, et proclament finalement la Seconde République d’Arsgentyne. Armando Monsallio décide de quitter le pays.

Entre-acte Ludique[]

Book

"Revolution of Hope" - Séance de signature.

Ayant quitté définitivement l'Arsgentyne en 2004, Armando Monsallio profite de cette retraite forcée afin de découvrir le monde. Il se consacre à l'écriture durant cette période, et pose un regard réfléchi sur la planète. Il finira par vouloir revenir à la vie publique en s'installant dans une micronation forte et active, afin d'exposer les théories qu'il a développées durant son exil. Il demande la nationalité frôceuse le 14 Janvier 2009.


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