4ème Président de la République Frôceuse | |
Prédécesseur | Bizzy33 |
Successeurs | Max Mattinen (intérim du 24 février au 14 mars 2008)
Yohann Vivier (élu le 14 mars 2008) |
Etat-Civil | |
Prénoms | Gavroche |
Nom | Finacci |
Age | 42 ans |
Situation Maritale | Marié |
Enfants | 12, 6 filles et 6 garçons (dont 10 adoptés), l'ainé est Riccardo Finacci âgé de 23 ans |
Politique | |
Parti Politique | Aucun |
Fonctions actuelles | Représentant Parlementaire |
Lieu de Résidence | |
Région de Résidence | Avernie |
Ville de Résidence | Karnag depuis qu'il a acheté le club de football américain local |
Gavroche Finacci (inscrit le 2 septembre 2007) est un homme politique frôceux, principalement connu pour son mandat de 49 heures à la présidence de la République
Il a notamment également exercé les fonctions de Premier Ministre et de Président du Conseil de la République
Les débuts[]
Gavroche Finacci s'inscrit dès le jour de son arrivée au Parti Socialiste alors dirigé par Bizzy33 en pleines élections présidentielles suite au large succès d'Hugo Solerne, Bizzy33 devient Premier Ministre et la lutte à sa succession oppose Laurent Terbace à CedriK, suite à la victoire de Laurent Terbace Gavroche Finacci est nommé porte parole du Parti Socialiste
Il est élu en quatrième place sur la liste Gauche Réformiste lors de l'Élection législative d'octobre 2007 mais il cèdera sa place à Peewes pour pouvoir siéger à la Chambre de la Magistrature
Après avoir participé aux procès de Yohann Vivier, Dieu et Scorpio il est un des conseillers politiques de Bizzy33 lors des Élections présidentielles de novembre 2007, suite à la victoire de cette dernière il devient ministre des institutions du Gouvernement Tony Vallée
L'ascension[]
Ministre des Institutions[]
En tant que ministre des institutions, la première tâche qui lui est confiée est de diriger la Commission pour une Seconde République
Il montre un certains sens du consensus lors des travaux autour de la nouvelle Constitution, travaillant largement de concert avec les représentants de l'UMP Yohann Vivier et Kyoshiro Sapporo (dont Finacci dira plus tard qu'il a fait la majeure partie du travail de cette commission)
Grâce à l'avancée des travaux de cette Commission il obtient une forte popularité (92 % d'opinions favorables selon une enquête de l'ISOG) dont il profite pour devenir Premier Ministre suite à la démission de Tony Vallée (à laquelle il n'est, de son propre aveu, pas totalement innocent)
Premier Ministre[]
Bizzy33 le nomme Premier Ministre le 4 janvier 2008, devant une majorité instable à l'Assemblée Nationale il décide de mener un gouvernement d'union nationale, chose qui sera saluée à droite et au centre mais qui laissera sceptique plusieurs personnalités de gauche (comme Lucas Lhardi qui fustigera la droitisation du pouvoir dans le Frôcolien) qui ne furent pas déstabilisées par les blocages réussis par l'UMP sur une bonne partie des texte du Gouvernement Tony Vallée, cependant il garde une popularité très élevée (80 % d'opinions favorables selon une enquête de l'ISOG) qui le place en favori pour les Élections présidentielles de février 2008
La chute[]
Les présidentielles de février 2008[]
Il commencera alors une série d'erreurs stratégiques en cherchant un triomphe personnel au lieu de s'appuyer sur un ou plusieurs partis comme le firent ses prédécesseurs.
Au lieu de maintenir la stratégie d'union de la gauche il cherche des soutiens au centre en contactant régulièrement Max Mattinen qui est alors largement favori pour devenir le premier Premier Ministre centriste en cas de victoire de Finacci.
Cette stratégie déplait à une partie de la gauche (y compris au sein du Parti Socialiste après sa nette victoire aux primaires de celui-ci) qui se ralliera à Patrick Pélisson
Grâce aux soutiens de dernière minute de Becky Libre et Paul Arancio il accède au second tour malgré un recours déposé à la Cour Suprême par Patrick Pélisson concernant une affaire de procurations irrégulières.
L'affaire de procurations le pénalise lors du second tour, une partie de l'électorat de Patrick pélisson voyant en lui un tricheur éhonté, sa cote ne s'améliore pas suite à une interview menée par Corentin Grant où il dévoile officiellement son souhait de nommer Max Mattinen comme Premier Ministre en cas de victoire, pour tenter de se réconcilier avec la gauche il pense à renoncer à nommer Max Mattinen mais les négociations échouent ce qu'il omet de signaler au Parti Socialiste.
Malgré cette série d'erreurs il remporte le second tour face à Yohann Vivier avec 53,85 % devenant ainsi le premier président de la Seconde République frôceuse
La Présidence la plus courte de l'Histoire de Frôce[]
Le lendemain de son élection, il confirme la nomination de Max Mattinen au poste de Premier Ministre ce qui provoqué un tollé à gauche, une large partie des militants de gauche arguant que l'Assemblée Nationale étant majoritairement de gauche (ce qui peut se discuter étant donné qu'en fait les partis de gauche ne possédaient que 6 sièges sur 13) et les doutes sur l'affaire de procuration subsistent, pire encore les ministres de droite nommés par Max Mattinen démissionnent peu après leur nomination sous l'impulsion de Youkou de Nonancourt, nouveau président de l'UMP
Gavroche Finacci se retrouve alors acculé, mais de façon surprenante il préfère quitter ses fonctions au lieu de dissoudre l'Assemblée Nationale
La "rédemption"[]
Premier passage au Conseil de la République[]
Gavroche Finacci intègre alors le Conseil de la République alors dirigé par Dimitri Idret, il se tient alors au maximum à l'écart de la vie politique ne participant à la vie d'aucun parti politique.
Lors de ce passage discret, il fut le rapporteur de deux avis du Conseil de la République sur le flood et la prime majoritaire aux élections législatives
Retour au Ministère des Institutions[]
Le 6 avril 2008, devant l'instabilité de l'Assemblée Nationale, le Premier Ministre Kyoshiro Sapporo décide de remanier son gouvernement et nomme Gavroche Finacci au ministère de la justice et des institutions, étant notamment à l'origine de la création du Code Electoral
Mais il quitte brutalement le Gouvernement deux semaines plus tard, séduit par l'opportunité de présider le Conseil de la République suite à la démission de Dimitri Idret
Second passage au Conseil de la République[]
Lors de ce second passage au Conseil de la République, il se forge une sérieuse réputation dans l'organisation des élections et mènera le dossier de la création de Frôce TV
Un peu lassé par le travail de président du Conseil de la République et alléché par la perspective de reprendre une place importante sur la scène politique il accepte l'offre de Laurent Terbace de rejoindre son gouvernement de transition suite à l'empêchement de la présidente Becky Libre
Retour sur le devant de la scène[]
Ministre du Budget, de l'Economie et du Travail[]
Du 9 au 25 juillet 2008, il devient ministre du Budget, de l'Economie et du Travail du Gouvernement Laurent Terbace
Son passage à ce ministère restera anecdotique étant donné que le fait le plus mémorable est l'ouverture d'un débat sans lendemain sur la réouverture des maisons closes, il quittera ce ministère pour raisons personnelles (vacances).
Ministre de l'Education Nationale[]
De retour, Gavroche Finacci fait activement campagne pour Max Mattinen, le ton démagogue de ses discours soulèvera l'indignation de certaines personnalités dont Patrick Pélisson
Max Mattinen élu, Gavroche Finacci est sans surprise intégré au Gouvernement Brian Napoléon au poste de ministre de l'enseignement de la culture et de la recherche, il gardera la majeure partie des attributions dans le Gouvernement Juliette Solerne-Peletier
Il mène plusieurs réformes qui seront très largement adoptées par l'Assemblée Nationale dont la création du système scolaire frôceux.
Ses travaux seront repris et complétés après sa démission par Lucas Lhardi
Nouvelles désillusions[]
La valse des partis[]
Pendant son mandat de ministre, Gavroche Finacci s'implique de façon assez peu réussie dans la vie des partis.
Après l'élection de Max Mattinen au poste de Président de la République il devient le président du Parti Démocrate Frôceux mais il quittera le parti jugeant que la balance de ses membre était trop à droite.
Il retourne alors au Mouvement Socialiste et Républicain, mas déçu par la place de l'éducation dans le programme de ce parti et ayant gardé une rancœur contre le premier secrétaire du parti, Paolo Nupe, il se laisse facilement convaincre par Nolan Kaonate, Boris Blanco et Corentin Grant de participer à la création du parti Libre Avenir
Le lendemain de la création du parti, alors que la bataille fait rage à gauche il retourne au Conseil de la République suite à une promesse faite à Ellion Kayerd, le président de l'instance, quelques jours plus tôt.
Les présidentielles de novembre 2008[]
Ayant toujours un goût d'inachevé de la campagne de février 2008, Gavroche Finacci envisage sérieusement d'être à nouveau candidat en novembre 2008 quand Paul Arancio lui propose le soutien du Parti Démocrate Frôceux, participant toujours aux travaux de Libre Avenir il tente d'obtenir le soutien des deux partis à la fois.
Cependant sa tentative d'obtenir le soutien de Libre Avenir est très mal vécue par les militants du parti lui reprochant d'agiter l'épouvantail d'une défaite si le parti faisait campagne à gauche comme le préconise alors son rival Corentin Grant et d'acheter leur voix car il souhaite se présenter sans étiquette pour pouvoir bénéficier du soutien des deux formations.
Après de violentes joutes verbales avec des membres de gauche, il décide de se retirer et de donner son soutien au candidat centriste qui sera finalement, à la grande surprise de beaucoup, Paul Arancio, se mettant temporairement en retrait du Conseil de la République il sera le porte parole de campagne du candidat démocrate à la présidence.
Finalement, cette campagne se soldera par une victoire inespérée de Paul Arancio au second tour des présidentielles contre Corentin Grant avec 52,63 % des suffrages exprimés
Le retour en force[]
L'Union Sociale Démocrate Frôceuse[]
Refaisant une courte pause dans son mandat de membre du Conseil de la République, il fonde l'Union Sociale Démocrate Frôceuse avec l'aide de Sébastien Delmas, il est à l'instigation des volets institutionnels, juridiques et éducatifs du programme de ce jeune parti.
Une fois les statuts adoptés et Sébastien Delmas nommé président du mouvement il retourne au Conseil de la République
Retour au ministère de la Justice[]
Perpétuant sa tradition de suspension de mandats au Conseil de la République, Gavroche Finacci accepte l'offre de Patrick Pélisson qui lui offre un troisième passage au ministère de la justice.
Il a proposé une réforme constitutionnelle et une réforme du Code Pénal qui seront adoptées peu après son départ, créant notamment le poste de Vice-Président de la République.
Il démissionne le 24 janvier 2009 en raison d'un désaccord avec le Président Paul Arancio concernant la tenue éventuelle d'un référendum concernant la réforme de la Constitution.
Come-back surprise à Belley[]
Le 11 juin 2009, lors qu'il ne semble plus vouloir quitter le Conseil de la République, le président récemment élu Alex Crawford l'appelle au poste de Premier ministre dans le but de séduire les députés centristes après l'échec du vote de confiance du Gouvernement Steven Callet I, il affiche une nouvelle fois une forte activité et se montre ferme (de nombreux ministres inactifs se sont vus montrer la porte par le Président et le Premier ministre durant cette période).
Le sommet de sa fermeté sera atteint lors de l'enlèvement du Président Alex Crawford, où il menaça d'employer l'arme nucléaire contre le Soudan (il sera révélé peu après la libération du Président que la bombe montrée aux médias était totalement factice), de façon curieuse peu de personnes ont montré une désapprobation ferme face à cet acte de façon rapide.
Ce retour constituera également le plus long mandat à l'hôtel Belley.
La marche triomphale du RDT[]
Le temps a avancé, la pondération est mise en place depuis le mois de [[[Élections présidentielles de mai 2009|mai 2009]], en manque de leaders le Rassemblement Démocratique et Travailliste peut légitimement craindre de perdre des sièges au terme des Élections législatives de septembre 2009, mais un élément de taille va changer la donne.
En effet les élections législatives ont lieu le même jour que le premier tour des Élections présidentielles de septembre 2009, Gavroche Finacci proposa alors aux adhérents du RDT de concentrer leur action sur le scrutin législatif alors que les autres formations se sont concentrées sur la présidentielle.
Cette stratégie décalée couplée à un immense effort individuel (13 meetings en 7 jours) permettent au RDT de dépasser les 32 % et de peser sur l'Assemblée Nationale, même si ce plan fut contrarié par l'éclatement du parti. Passé ce scrutin, Gavroche Finacci reprit ses activités au Conseil de la République