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| Etat-Civil | |
| Prénoms | Zénodore, Alceste, Evrard, Charles |
| Nom | du Plessis |
| Age | 51 ans |
| Situation Maritale | Marié, depuis le 7 Avril 2001 à Kjerstin Christensen du Plessis |
| Enfants | 2 enfants légitimes (Aubin, 2 ans et Sirarpie, 10 mois) |
| Politique | |
| Parti Politique | FLC (Front Libéral-Conservateur) |
| Fonctions actuelles | Président du Front Libéral-Conservateur |
| Lieu de Résidence | |
| Région de Résidence | Région Occitania |
| Ville de Résidence | Orgues-les-Bains |
Zénodore du Plessis est un avocat et homme politique frôceux, né le 27 Avril 1958 à Megève (France), d'un père industriel et d'une mère cantatrice, tous d'eux originaires de Frôce.
Après avoir occupé un poste de Juge à la Cour Suprême de la République Frôceuse, Zénodore du Plessis mène la campagne des Élections Législatives du MDL, qui le mènera, le 6 Septembre, à l'Assemblée Nationale.
Il reste connu pour s'être investi dans le développement de la pensée Conservatrice-Chrétienne, notamment au travers du Courant Conservateur-Chrétien puis dans la création du Front Libéral-Conservateur.
Biographie[]
Avant la Frôce[]
Les parents de Zénodore du Plessis ont quitté la Frôce dans les années 50 pour rejoindre le grand voisin français. Son père Alceste, diplômé de commerce au USA, usant de ses relations, a rapidement intégré le milieu industriel, siégeant au conseil d'administration de plusieurs groupes importants.
Zénodore est élevé par sa mère Marie-Hortense, cantatrice reconnue et fervente catholique, à Megève. Il voit peu son père, souvent retenu à Paris. Après une scolarité brillante, il intègre HEC Paris. A sa sortie, bien aidé par son paternel, il entre dans un grand groupe pétrolier français. Son ascension est importante. A la fin des années 90, il est Directeur de la Communication du Groupe, qu'il finira par quitter en 98 pour créer, avec des associés sa propre entreprise d'exploration et production pétrolière.
Il épouse Kjerstin Christensen, le 7 Avril 2001, rencontrée quelques mois plus tôt, sur le tournage d'une publicité pour son entreprise. Après la naissance de ses deux enfants, et désormais fortement nanti, Zénodore du Plessis surprend le monde industrialo-financier français en annonçant son retrait des affaires. Il rejoint le pays natal de ses parents avec une idée fixe : faire de la politique.
Premiers pas en Frôce[]
Dès son arrivée en Frôce, Zénodore rallie le Mouvement de la Droite-Libre où il gravie rapidement les échelons. Nommé trésorier du parti, il évolue rapidement vers un poste de porte-parole. Un contexte particulier (avec la mort de Jean-Baptiste Marshall, président-fondateur du Mouvement) permet à Zénodore d'être nommé tête de liste du MDL pour les Législatives de Septembre 2009.
Sa première campagne électorale sera couronnée de succès. Le néophyte (qui met cependant admirablement bien son expérience dans le monde financier à profit) ne passe pas inaperçu. Adepte de la provocation et évitant scrupuleusement la langue de bois, il parvient à trouver un écho favorable dans la population, qui le propulse à l'Assemblée Nationale, avec deux colistiers (c'est là un résultat historique pour le MDL).
Carrière[]
Carrière Politique[]
- Juin 2009 à Août 2009 : Trésorier du Mouvement de la Droite Libre
- 8 Juillet 2009 :' Fonde le Courant Conservateur-Chrétien
- Août 2009 à Janvier 2010 : Porte-Parole du Mouvement de la Droite Libre
- 6 Septembre 2009 à Janvier 2010 : Député du Mouvement de la Droite Libre
- 1 Février 2010 : Quitte le MDL pour créer le FLC (Front Libéral-Conservateur)
Emplois[]
- Avocat et Président du Cabinet Plessis
- Propriétaire du Sporting Club d'Orgues-les-Bains
- Propriétaire du Plessis Cycling Team
- Juge à la Cour Suprême (Juillet - Août 2009)
Polémiques[]
- A l'issue d'un discours, lors des Législatives de Septembre 2009, Zénodore du Plessis aurait déclaré "les comportements homosexuels sont déviants et pervers". Menacé de procès par plusieurs figures politiques de Gauche, du Plessis ne s'est cependant jamais rétracté ou excusé...
- Une blague misogyne de Zénodore du Plessis serait à l'origine de la démission d'Isis Nephtys, alors collaboratrice du Cabinet Plessis.